DISPARITION DE ANDRE MOURTIER

ADIEU DEDE. C’est jeudi matin, à l’issue d’une longue maladie que nous a quitté ANDRE MOURTIER. Même si la plupart des joueurs actuels ne l’ont pas connu, tous les joueurs et dirigeants des années 1990 à 1995 se souviennent de lui comme entraîneur et cofondateur de l’USVG. Durant l’année 1990, alors que le volley-ball dans le canton de Vif se résumait à la MPT de VIF avec une section loisirs adultes et son Ecole de Volley, à l’AS collège du MASSEGU, et à l’ASSP à SAINT PAUL DE VARCES avec une section loisirs adultes, la croissance des effectifs jeunes, ainsi que leur provenance des 4 communes du sud du canton ont amené les dirigeants de l’époque ( Jean Louis, Mémé et Jacques pour la MPT) à réfléchir à la création d’un club intercommunal et à rencontrer André, qui s’occupait de l’ASSP et de l’AS collège de Vif. Ces rencontres débouchèrent sur la création en 1991 de l’USVG Ancien joueur de National 1 à Grenoble puis de National 2 à Saint Egrève, Dédé nous a apporté sa connaissance et sa passion du volley ball pour nous permettre d’évoluer du loisir vers la compétition. Pour faire fonctionner l’USVG et réussir le pari sur l’avenir, il fallait des finances : Mémé et Jacques eurent l’idée du salon des Antiquaires, mais il manquait son financement qui fût réussi avec l’édition d’une plaquette publicitaire sur le club réalisée par Dédé et le salon 1991 fut un succès. Ensuite, en 1993, lorsque Mémé eu l’idée du Salon de la Gastronomie, c’est Dédé et Marie Odile qui se sont chargés de la confection des 3 repas gastronomiques du salon (qui se souvient du saumon à l’oseille…) Dans les gymnases aussi, tu passais un très grand nombre d’heures avec l’entraînement des seniors garçons que tu as fait monter en régional, des benjamins avec la 1ère finale de coupe de FRANCE jeunes à Biscarosse, ainsi que des cadettes filles. La majorité des seniors garçons (les plus âgés) et des dirigeants historiques ont encore en mémoire les excellents repas d’après match à Saint Paul ou les journées à la Bérarde. Adieu l’ami Jacques